LE GUIDE DU COACHING





Face à la quelconque décadence des coutumes, des recommandations sont élaborées pour redresser la barre. De part ces feuilles de route, nous pouvons souligner un recueil pas comme les autres. Il s’agit du Guide du coaching. Nous couvrirons certains aspects de ce recueil, dans les phrases qui suivront.


Le coaching, provenant du nom ‘coche’, s’identifie à l’accompagnement et à l’épanouissement d’un individu, désigné sous le nom de ‘coaché’. Ce procédé ne fut importé en Europe que vers les années 80 et 90 ; l’Amérique du Nord représentant son lieu d’origine avec les œuvres de Vincent Lenhardt. De manière globale, le coaching peut être soit un coaching de formation ou un coaching de conseil.


Parlant spécialement de 'Le Guide du coaching', nous sommes devant un bouquin qui nous détaille toutes les formules ayant comme but de perfectionner nos prouesses individuelles. Élaboré par un certain John Whitmore, le Guide du coaching est disponible en 4 volumes précis. Cet auteur fut l’un des tous premiers, sinon le tout premier promoteur du coaching en Europe. Les grandes lignes de ce bouquin parlent du but du coaching, de la motivation, du coaching des sociétés et des équipes.


Le Guide du coaching spécifie l’expression ‘coaching’ comme étant un système permettant au coaché de valoriser son potentiel et son savoir faire, le tout dans le cadre de ses aspirations professionnelles. En d’autres termes, le soit disant guide est principalement vu comme étant un mécanisme permettant à des personnes de tout horizon, de tirer le meilleur d’elles-mêmes et de bosser plus profitablement au sein d’un groupe. Avec tout ce qui tourne autour du coaching, nous ne pouvons qu’améliorer notre productivité.


De manière universelle, Le Guide du coaching s’adresse surtout aux individus. Cependant, dans l’univers du business, il s’applique aussi ‘au groupe’. En somme, Le Guide du coaching devrait pousser progressivement tout le monde à la prise de conscience de ses capacités, à les appliquer dans la vie de tous les jours et en définitive, à les assimiler.


Pour en savoir plus, consultez l'article coaching.


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OPTIMISER SON DIAGNOSTIC DE CARRIERE




La construction du projet personnel et professionnel : là où coaching et outplacement se rejoignent

Certaines personnes demandent un coaching pour les aider à trouver le projet de leur vie. Pour ces cadres en activité ou non, au-delà de la nécessité d'avoir une activité professionnelle, la construction de cette cible est une démarche fondamentale: elle vise à aligner ce qu'ils sont avec ce qu'ils font.


Dans la démarche d'outplacement, la définition du projet professionnel est une étape incontournable, précédant le lancement de la recherche.

Parfois, les choses sont claires pour la personne accompagnée. Et le rôle du consultant, dans cette phase, consiste à faire clarifier le discours portant sur ce projet: en quoi est-il en adéquation avec les compétences, l'expérience, la motivation de son client? Et en quoi peut-il intéresser des employeurs ou partenaires potentiels?

Pour d'autres, cette étape représente un enjeu majeur et peut prendre du temps. Le consultant doit savoir accompagner efficacement, avec le bon rythme, son client dans cette phase de construction.


Son rôle de conseil s'estompe au profit de celui de coach. Par l'écoute active, le questionnement, la confrontation, il recadre les objectifs implicites de son client et l'amène à trouver sa propre voie.


C'est ensuite pour la mise en oeuvre du projet de son client que le consultant, avec son expertise et sa connaissance des mécanismes du marché du travail, réendossera son costume de conseil.



COACHING DE VIE – LES 5 PHASES D'UNE BONNE GESTION DE L'ECHEC


Henry Ford disait « Echouer c’est avoir la possibilité de recommencer, de manière plus intelligente ». Si cette citation est connue, peu de gens en saisissent le véritable sens.

En effet, l’être humain a la possibilité d’apprendre de ses échecs et ainsi de corriger son parcours vers l’atteinte de ses objectifs. Faire prendre conscience de ceci est le but de tout
coaching de vie.

Un excellent exemple est celui de la torpille qui, après avoir été lancée, corrige sa trajectoire en fonction des mouvement de sa cible.

Cependant, au contraire de la torpille qui a la capacité de rectifier immédiatement après avoir reçu les données nécessaires, l’être humain est avant tout un être fait d’émotion. D’où la nécessité de passer par différentes phases pour gérer l’échec.

Elles sont au nombre de 5.

1ère phase : Le rejet de la situation : Dans un premier temps l’échec est toujours refusé. Il en résulte un manque plus grand de confiance en soi, pour ceux qui restent à ce niveau.

2ème phase : Les émotions qui en découlent : La personne qui échoue est souvent en colère, triste, voire déprimée. Elle pense alors être nulle, inutile, ne jamais y arriver, ou alors que c’est la faute à untel…

3ème phase : L’acceptation : C’est là que le bas blesse, car beaucoup de gens en restent aux précédentes phases et refusent d’intégrer l’échec. Or le fait d’accepter que l’on a provisoirement connu la défaite peut être un grand soulagement et constitue le pré-requis indispensable à la phase suivante …

4ème phase : Reconnaître le besoin ou l’envie de changement : Une fois l’échec accepté comme une défaite temporaire et non plus comme un arrêt total, il devient plus aisé de réfléchir sur les causes qui l’ont entraîné afin d’en tirer les enseignements.

5ème phase : Mise en place d’actions correctives : A partir des enseignements tirés de la phase précédentes, il faudra élaborer une stratégie plus pertinente et la mettre en action immédiatement pour atteindre ses objectifs.

Il existe des groupes de
coaching de vie qui proposent l’étude de certains ouvrages, comme le très connu « Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill, afin de mettre en pratique les principes exposés et apprendre à mieux gérer l’échec lorsqu’il se présente, pour enfin atteindre le succès tant désiré.

Coach et mentor en marketing de réseau, Eric Hebting a lui aussi connu de nombreux échecs avant de découvrir un groupe proposant du
coaching de vie à toute personne voulant réussir dans cette activité.

Site de l’auteur : http://5-phases-echec.teltabiz.com

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POLE EMPLOI, UN COACH TOUJOURS CONTESTE

CHOMAGE - L'accompagnement laisse à désirer, selon un sondage...

Un an et demi après sa création, Pôle emploi n’a plus à justifier son existence, mais peine à encore s’imposer comme un accompagnateur efficace dans la recherche d’emploi. Tels sont les principaux enseignements de la grande consultation menée par Ipsos du 6 septembre au 5 octobre dernier, sur 500.000 demandeurs d’emploi, révélés ce lundi matin. Selon cette enquête, «69% des personnes interrogées considèrent que la fusion ANPE-Assedic n’est plus un sujet et qu’elle a permis d’importants bénéfices organisationnels, les démarches étant jugées plus simples et plus rapides», a indiqué Brice Teinturier, directeur général adjoint d’Ipsos. Par ailleurs, 80% des sondés sont satisfaits de leurs conditions d’indemnisation.

En revanche, les demandeurs d’emplois se montrent nettement plus critiques sur l’accompagnement qu’ils reçoivent lors de leurs recherches d’emploi: seulement 52 % d’entre eux se déclarent satisfaits des services proposés par Pôle emploi pour les aider à retrouver un job. L’étude montre notamment le manque d’informations dont souffrent les demandeurs d’emplois, car près de la moitié d’entre eux ignorent les métiers et les entreprises qui recrutent le plus dans leur région et 30% ne savent pas non plus à quel salaire ils pourraient prétendre. Autre frein majeur au retour à l’emploi: l’inadéquation du profil de certains demandeurs d’emploi avec celui recherché par les recruteurs. Ainsi, 42% des chômeurs interrogés estiment qu’il leur manque une compétence pour être embauchés et 36% que leurs diplômes n’intéressent pas les entreprises. Un manque d’alchimie que Pôle emploi reste impuissant à résoudre.

Des pistes d’amélioration

Face à ces constats, le secrétaire d’Etat à l’Emploi, Laurent Wauquiez, a fait part ce lundi matin de son souhait de personnaliser davantage la relation de Pôle emploi avec ses usagers pour mieux répondre à leurs attentes. Plusieurs pistes d’amélioration seront suivies à cet effet: l’information sur les besoins de main d’œuvre au niveau local devrait être plus largement diffusée au sein des agences et la participation des chômeurs aux forums de recrutement devrait être fortement augmentée. Ces derniers pourraient aussi bientôt bénéficier de nouveaux services: la possibilité de joindre leur conseiller par mail et de préparer avec lui des entretiens d’embauche. Enfin, Pôle emploi devrait aussi mettre l’accent sur l’accompagnement des chômeurs seniors et des jeunes, via un coaching renforcé.

Reste un dernier écueil à résoudre: diminuer le nombre de demandeurs d’emploi suivis par le même conseiller, car il tournerait en moyenne autour de 105. Une situation toutefois très contrastée d’une région à une autre. «En raison de la crise, nous ne pouvons pas atteindre pour l’instant, l’objectif fixé par Christine Lagarde de 60 demandeurs d’emploi suivis par un conseiller», a reconnu Christian Charpy. D’autant que le projet de budget de l’Etat pour 2011 ne prévoit pas l’embauche de CDD supplémentaires pour faire face à la situation…

Delphine Bancaud

COMMENT GAGNER EN CONFIANCE


Y a-t-il quelque chose de plus rabaissant et blessant, entrainant une perte de confiance en soi, que d’entendre de la bouche d’un adulte, d’un parent, d’un ami, d’un frère ou d’une sœur : « tu n’y arriveras jamais, tu es vraiment nul, tu ne vaux rien, tu es un bon à rien… »

Soit à force d’entendre cela, on devient ce que l’on a tant entendu en pensant « les autres, les grands ont sûrement raison ; s’ils le disent, ils doivent avoir raison ; cela doit être vrai »

Soit une baisse de confiance car alimentée de doutes, de peurs et de croyances. Qui peut engendrer par la même occasion des comportements, des attitudes néfastes : tu ne vaux rien = tu es un vaurien, tu ne sais rien faire de tes mains= ne pas pouvoir bricoler ou être manuel.

Quand un enfant, vous demande : « cela existe les enfants toujours gentils »avec un regard un peu craintif
et que quand vous lui répondez « un enfant toujours gentil c’est comme un enfant toujours méchant, ils ont tous les deux une souffrance »,
son regard s’illumine de soulagement et de confiance, on peut se demander ce qui à provoquer cette question dans sa jeune tête
et lui faire se trouver « anormal » d’être de temps en temps gentil et à d’autres moments sot.
Combien de fois, encourageons nous les autres ou nous faisons nous des compliments.

Encouragez vos enfants, vos employés, vos amis même pour des petites choses, un encouragement et si vite fait et procure tellement de bien être, et si en plus on croit en vous et bien vous vous faites de plus en plus confiance.

Juste se dire à la chaque fin de chaque journée « qu’est ce que j’ai fait de bien aujourd’hui »
en notant toutes les petites choses qui semblent anodines tel :

•un sourire fait à une personne croisée ce matin,

• une conversation au repas de midi qui à fait sourire un ou une collègue triste,

•la confection d’un bon repas partagé en famille…

Souvent nous ne savons pas faire car nous n’avons pas forcement appris à nous faire confiance et comment gagner la confiance des autres.



Et comment faire confiance aux autres qu'en on doute de soi.

Prendre trente minutes et faire une liste de tout ce que nous savons faire et que les autres ne savent pas forcement faire (même si nous parait "normal" tel que:
Un bon repas, un jardin, conduire, parler une langue étrangère, s'occuper d'enfants, peindre, bricoler, faire rire les autres...

et regarder régulièrement cette liste et la compléter, tout en se félicitant d'avoir tous ces talents.

Autant de petites choses à mettre en place qui nous amènerons à apprendre
reprendre confiance en soi.

Pour d'autres conseils
www.surlechemindelareussite.com/lecons



Dominique Georges
Conseillère en relation humaine, Coach
www.surlechemindelareussite.com



Source : http://Contenu-Gratuit.com

COACH POUR VOTRE REUSSITE



QUELLES SONT LES ORIGINES DU COACHING

Pour certains, nous pourrions remonter au V° siècle avant J.C. avec Socrate, précurseur de la « maïeutique » (ou l’art d’accoucher les esprits) et qui pourrait être reconnu comme le père du coaching.

Pour d’autres, le mot « coach » serait tiré du français « coche ». Cela évoque la période des voitures conduites par un « cocher » qui accompagnait les passagers à leur destination.

Vers 1950-1980, on découvre qu’une réussite sportive était le fruit d’un travail intensif de musculation, force et technique. Il existait toutefois un point à améliorer : le mental. Ainsi, débute le travail de visualisation, de sophrologie.

Force est de constater que le succès fut évident et reconnu… C’est ainsi que le coaching est passé progressivement dans le milieu des entreprises. Le coaching est désormais un accompagnement courant, aidant une population très variée en demande d’aide.


LES INTERROGATIONS… Qui n’a pas dit un jour ?

Je veux tout plaquer

Je veux me réaliser

Je veux être indépendant

Et SI j’avais fait ceci ou cela …


COMMENT CONCRETISER SON REVE POUR EN FAIRE UN PROJET PROFESSIONNEL QUI SOIT UNE REUSSITE ?



Un coach pour quoi faire ?

Le coach est un professionnel expérimenté et rigoureux qui vous aide à mieux réfléchir sur votre situation et vos projets. Il vous accompagne et vous guide dans la réussite de vos projets, dans vos désirs. Un programme d’aide est mis en place. Il permet de prendre du recul et de bénéficier de conseils neutres. Il pourra définir avec vous vos objectifs et vous donnera surtout les moyens des les atteindre.


A quel moment le solliciter ?

Besoin de prendre du recul sur un projet personnel ou professionnel ? Une hésitation entre plusieurs orientations professionnelles ? Vous perdez le goût de travailler ? Un licenciement compliqué à affronter ? Des difficultés personnelles à surmonter telles qu’un divorce, des problèmes familiaux, une remise en question ? Faire le point sur ses valeurs et ses choix de vie ? Vous vivez des situations difficiles à surmonter ? Vous avez besoin d’être accompagné.


Comment choisir son coach ?


Avec le nombre important d'offres, le particulier, comme l'entreprise, peut se sentir perdu dans le monde du coaching. Il est suggéré quelques conseils, en particulier :
  1. Avoir un entretien avec son futur coach peut être intéressant pour connaître son parcours professionnel, son expérience... N’hésitez pas à lui poser autant de questions que vous le désirez, la première séance est gratuite. De ce fait, rencontrez plusieurs coachs avant de faire votre choix.
  2. Vérifiez son appartenance à une fédération ou une association professionnelle.
  3. Contrôlez les modalités du contrat qui vous lie avec votre lui, les conditions pour mettre fin à tout moment au coaching.
  4. Pendant le coaching, n'hésitez pas à demander régulièrement un point complet par rapport à l'objectif fixé.


Avant d’entamer un coaching, il est conseillé de se renseigner sur la formation de ces professionnels. En général, ceux-ci ont suivi une formation avec un organisme reconnu par la Société Française de Coaching – (sfcoach.org).


La relation de confiance doit s'installer dès la première séance. En effet, il est important de se sentir à l'aise, d'être capable de parler en toute franchise, d'être tout simplement honnête avec soi-même.


- Marie-Madeleine JOSSET
2010 -

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